Par Laurent Quevilly

Dans le Figaro du 7 mai 1920 parut une "réclame" mettant en scène Mme Falaise, de Sainte-Marguerite. Son portrait est signé Deschamps, le photographe de Duclair...

Les Pilules Pink ont passé par

Que de visages souvent baignés de pleurs sont maintenant éclairés d'un bon sourire. Les Pilules Pink ont passé par là et, en modifiant l'état de santé des malades, ont été la cause de ce bienheureux changement.
Beaucoup de femmes, en présence de leur état d'anémie persistant, de leur faiblesse, leurs troubles intimes, toujours plus fréquents et douloureux, désespèrent et pleurent sur leur triste sort. Qu'elles se rassurent et qu'elles se disent bien qu'il y a de l'espoir de guérir, si elles font usage des Pilules Pink, incomparable régénérateur du sang, tonique des nerfs.


L'exemple de Mme Falaise, de Sainte-Marguerite-sur-Duclair (Seine-Inférieure), vous montrera qu'on peut compter sur les pilules Pink pour guérir rapidement et que, même là où les autres remèdes ont échoué, elles font merveilles.

Mme Falaise écrit : «J'ai été minée par l'anémie et, malgré tous les soins, malgré les fortifiants et plusieurs remèdes, j'étais toujours dans un mauvais état de santé et en proie à de continuels malaises. Seules les Pilules Pink ont pu me faire du bien et c'est à elles que je dois d'avoir été guérie. »

Femmes, rappelez-vous que votre plus grande ennemie, l'anémie, n'a pas de plus grande ennemie que les Pilules Pink, qui sont vos amies.

Les Pilules Pink sont souveraines contre l'anémie, chlorose des jeunes filles, troubles de croissance, irrégularités de fonctions, faiblesse générale, maux d'estomac, migraines, épuisement nerveux, neurasthénie.

En vente dans toutes les pharmacies et au dépôt Pharmacie P. Barrot, 23, rue Ballu, Paris, 4 fr. 50 la boîte, 24 fr. les six boîtes franco, plus 0 fr. 50 de timbre-taxe par boîte.



Le 19 juillet 1910, à Sainte-Marugerite, Henri-Alfred Falaise, employé de commerce né à Saint-Arnoult, avait épousé Suzanne Germaine Luce, native de Bolbec  et fille d'un agriculteur établi à Sainte-Marguerite tandis que sa mère, journalière, vivait à Rouen.
Les témoins de cette union furent Honoré Levillain, charretier, Paul Tiphagne, cultivateur, Joseph Luce, bûcheron et cousin de la future, tous de Sainte-Marguerite, enfin Antoinette Ponty, journalière à Duclair. A l'époque de ses noces, la mariée n'avait pas besoin de fortifiants. Elle accoucha trois mois plus tard d'un premier enfant.

Laurent QUEVILLY.


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