Le
trafic
Le
port d’Aizier
est le plus souvent dit « petit »
ou « sans
importance » et il ne s’y fait
« que de la navigation
au bornage » : les destinations sont au
plus loin Rouen et
Le Havre. Mais le peu d’étendue de la digue fait
que les « navires
attendent souvent plusieurs jours pour obtenir une place à
quai »
(1855, 1860).
On
ne parle que
des expéditions : cidres – 2000 tonneaux
en 1833 – et
grains du Roumois. Mais surtout bois de la forêt de
Brotonne :
La Mailleraye et Aizier semblent se partager la forêt,
à La
Mailleraye la partie est, à Aizier la partie ouest.
Au
milieu du
siècle, la nouvelle route départementale 19 de
Lisieux à Aizier,
est peut-être tracée pour favoriser le port, ce
qui suscite la
jalousie de Vieux-Port.
Nous
pouvons
donner les chiffres suivants pour le trafic du port :
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